Petits projets
Quelques photos pour la route, juste pour prouver que je continue à tricoter.
Vous vous souvenez de cette pauvre pelote abandonnée devant des clémentines ?
Voilà la première mitaine réalisée selon le modèle de Marie (merci Marie).
Devant notre deuxième bibliothèque (non, non, nous n'avons presque pas de livres à la maison).
Depuis la photo, cette mitaine est terminée, et, ça a beau être facile, je suis fière de moi. L'avantage, c'est qu'elle a vraiment été très, très rapide à réaliser, et des gratifications immédiates, c'est toujours agréable. En tout cas, j'en suis très contente. Bientôt la deuxième et mes mains pourront parader gaiement.
Et, sans être tout à fait membre du club des "pieds en l'air", voilà mon pied couronné de ma première chaussette.
Tadam ! (Je suis parfois absurdement contente de moi).
Toudoux arrive à sa fin, je suis presque au bout de la dernière demi-manche. Après, il faudra assembler tout ça, ce qui est, bien sûr, la partie que nous préférons toutes. En ce moment, j'ai deux ouvrages ainsi, dont le premier assemblage n'a pas été concluant, et qu'il faut refaire. Et je traine, je traine... Ce qui n'est pas bien du tout, parce que l'un d'eux est pour Amis sans Frontières, et il faudrait quand même que je leur donne enfin quelque chose. Le deuxième, c'est le Bistrot de mon homme, dont le col "godaille" d'un côté. Le problème, en fait, c'est qu'en cousant le col, (hum, en le recousant, la première fois, à la machine, n'était vraiment pas parfaite), j'ai mis la plupart des mailles d'un seul côté, donc ça penche, évidemment. Là, j'ai commencé à le découdre, mais, comme il avait fallu le coudre sans rabattre les mailles (je n'ai plus les termes techniques en tête), en décousant, ça se détricote. J'ai déjà tricoté deux fois ce col, je commence à en avoir un tout petit peu assez. Mais j'aimerais tant que mon Orme ait un pull fait de mes mains qu'il soit fier de porter...
Dans ces cas-là, je voudrais engager une petite fée pour venir terminer ce pull à ma place avant que je ne le saccage à m'énerver dessus.