Photos ratées
et hop, pour la route, une petite photo en autoportrait de mon chapeau au crochet terminé.
Cette photo explique le titre de mon post du jour. En effet, je ne me reconnais absolument pas dessus. je sais que c'est moi (sauf si quelqu'un s'est amusé à intervertir ma tête pendant que je tendais le bras, mais cet exploit me semble un rien difficile), et cette photo est la plus ressemblante du lot. Pourtant, rien à faire, j'ai du mal à croire que c'est moi.
Donc,vous êtes priées de ne regarder que le chapeau, et uniquement le chapeau.
Ensuite, un petit pull terminé, ma copine peut accoucher, j'ai déjà au moins quelque chose pour elle (bon, j'aimerais bien qu'elle me laisse le temps de tricoter un bonnet aussi, alors elle est priée d'attendre)
je n'ai plus qu'à coudre les pressions pour la fermeture du col, au dos.
Encore une fois, j'ai constaté que, pour un ouvrage en layette, je consacre plus de temps aux finitions qu'au tricot proprement dit.
En effet, un petit pull en jersey endroit, ça va relativement vite. mais coudre un col au point arrière, rebroder les lettres pour le petit mot, et, en plus, coudre un ourlet (!!!) au col et au bas, ça prend du temps.
Si, si, vous avez bien lu, un ourlet. C'est la première fois que j'ourlettais (ça se dit, ça?) un tricot. En fait, c'est prévu je pense pour éviter aux bords de roulotter, et ce n'est pas si idiot. Mais je n'avais encore jamais fait, et ça m'a pris un temps bête.
Je voulais aussi vous remercier pour vos compliments sur mes ouvrages en couture de mon dernier message. Pour celles, nombreuses, qui le demandaient, le patron de ma robe vient de ce burda (février 2005)
que vos pouvez commander sur coudre-broder-tricoter.com . Le modèle de la robe n'est pas présenté dans leur choix de photos, mais, si vous avez le catalogue, la robe comportait en plus deux petites séries de volants, que j'ai supprimés. je ne suis pas trop "frou-frous".
Par contre, depuis, j'ai encore reçu une bonne leçon de couturière : penser à laver le tissu avant de coudre, sinon ça peut rétrécir. Et hop, ma petite robe blanche à fleurs bleues, trop courte maintenant.
je savais bien que ça risquait de m'arriver un jour. Mais comme j'ai tendance à acheter le tissu le matin pour le coudre l'après-midi, je n'avais pas vraiment envie de passer par l'étape "machine à laver-attendre que ce soit sec". Tant pis pour moi, ça m'apprendra.